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(MAJ) Microsoft préparait il aussi un réseau social ?

Aprés Google et son réseau social
Google+
, il semblerait que Microsoft veut lui aussi son propre réseau.

Hier, jeudi 14 juillet 2011, plusieurs internautes ont pu lire par accident quelques informations sur le site socl.com, en faisant une petite recherche, le site socl.com appartient bien à Microsoft Corporation, ce site n’est donc pas un fake.

Il serait destiné à accueillir le projet Tulalip, mais rapidement, microsoft a remplacé les informations présentes par un message d’excuse:

Citation:

« Thanks for stopping by.
Socl.com is an internal design project from a team in Microsoft Research which was mistakenly published to the web.
We didn’t mean to, honest. »

« Merci de votre visite.
Socl.com
est un projet interne d’une équipe de Microsoft Research qui a été publié sur le Web par erreur.
Nous n’en avions pas l’intention, honnêtement. »

Juste avant que Microsoft ne fasse ses excuses, le site ressemblait à ceci:

Sur le fond vert du site on pouvait observer des photos de personnes et deux boutons pour pouvoir se connecter avec Facebook ou Twitter », si cela ne ressemble pas à un réseau social, alors qu’est ce que c’est ?

Depuis, microsoft n’a toujours pas communiqué officiellement et les internautes doivent se contenter de la phrase d’excuse sur le site.

D’o? peut venir ce nom de Tulalip ?

Comme vous le savez, microsoft est basé à Redmond, dans l’Etat de Washington, a 100km des bureaux du géant américain se trouve une réserve indienne, dont ses habitants s’appellent: « les Tulalip!« 

Hasard?

Twitter, Facebook, Google+, et maintenant Tulalip ?

Accéder au site

Voir aussi:

Google +, le concurrent direct de Facebook, débarque

MAJ le 20.7.2011

Suite à une fuite apparemment accidentelle, Microsoft a confirmé l’existence d’un projet interne qui a tout l’air d’un outil de réseautage.

Un outil interopérable plutôt qu’un réseau social ?

Microsoft a d’ailleurs souvent répété qu’il ne considére pas comme nécessaire de créer un réseau social de plus et qu’il était préférable au contraire travailler à l’interopérabilité de ses produits avec les services existants.